Clevy était enfin prêt pour la mission qui lui était destinée: la destruction totale et immédiate de la planète Terre... Mais qui est Clevy exactement? Il s'agit d'une entité mi-humain, mi-robot, mélange plutôt réussi de Terminator et de Robocop. Cette machine, une société secrète de la même trempe que Torchwood l'a préparée depuis plus de deux ans. Enfin, Clevy pu sortir pour la première fois de sa vie à l'air libre. Il contempla l'horizon devant lui, et esquissa ensuite un sourire sadique. Il allait pouvoir faire ce pour quoi il a été conçu: tuer les humains qu'il considérait comme étant une espéce inférieure. Rien que cette idée le rendait tout heureux. Il n'avait plus qu'une hâte, de se mettre au boulot sans tarder... Et c'est ce qu'il fit.

Les deux lourdes portes de l'immense bâtisse s'ouvrirent et l'homme, qui mesure tout de même dans les 2 mètres de haut, s'avança vers la ville s'étendant à quelques kilomètres de là. Arrivé sur place, il arma ses deux bras qui se résumaient en deux grosses mitraillettes, et fit feu sur tout ce qui bougeait. Tout y passa: maisons, arbres, humains... Quant au robot, il s'en donnait à coeur joie. Voir le sang gicler ne lui donnait qu'une envie. Continuer jusqu'à ce que toute vie se soit envolée de cette ville. Ces humains devaient mourir, point barre! Il n'y avait que lui, Clevy, qui avait le droit de vivre. Une fois qu'il n'y avait plus personne à tuer et de chose à détruire, il partit vers la ville à côté pour faire son devoir... Et ainsi de suite. L'invasion d'un seul homme avait commencé et rien ni personne ne saurait l'arrêter. L'univers tout entier allait y passer.

FIN

Nous retrouvons une fois de plus notre seigneur du temps dans sa magnifique boite bleue qui voyage dans l'espace et le temps, accompagné bien évidemment de sa compagne, Amy Pond, une jolie rousse. Jusque là, tout va bien, le décor est planté. Parfait.

Ce jour-là, donc, le Docteur avait eu une idée tout à fait inédite, voire originale, et à vrai dire, pas vraiment habituel. Fort d'avoir trouvé une aussi brillante idée, le Docteur, fou de joie, se précipita sous la console de contrôle, ouvrit une des armoires et en sortit.... Deux nez de clowns. Il remonta ensuite au rez au moment même où Amy revenait de la piscine. Il arbora alors, fier de lui ses nez de clowns tout sourire, espérant que sa compagne comprenne.... Malheureusement, il n'en fut rien. Au contraire, la jolie rousse le regardait bizarrement. Elle se demandait certainement ce que son Docteur débraillé faisait avec ses objets digne d'un cirque.

Constatant finalement qu'elle n'avait rien pigé, il en mit un sur son propre nez et se mit de nouveau à sourire béatement. Peut-être que comme ça, Amy comprendrait, se disait-il intérieurement. Tu parles! Amusée par cette scène loufoque, elle se mit à rire à gorge déployée. Dieu ce qu'il avait l'air débile avec son nez de clown.

Et pour apporter encore plus de cocasserie à cette scène qui était déjà assez incroyable, le Seigneur du temps choisit une musique encore plus absurde: de la country. Il se mit à danser un peu n'importe comment, en n'oubliant pas bien sûr sa danse de la girafe-qui-est-soule. Amy, qui n'avait cessé de se marrer comme une dingue, décida de se joindre à lui. Elle enfila à son tour le nez rouge et se mit elle aussi à danser.

Heureusement que personne n'était là pour assister à cette scène vraiment abracadabrante. Mais enfin, s'amuser n'a jamais tué personne jusqu'à présent.

FIN.

Imaginez un peu, le consultant du CBI, Patrick Jane, qui se promène avec Teresa Lisbon dans les rues de Londres. Ceux-ci sont en vacances et espèrent bien profiter un peu… Mais voilà que l’improbable arriva…. Un tardis se posa devant eux et le Docteur (Eleven) sort suivi de Amy Pond, sa jolie compagne rousse. On peut dire que les deux hommes sont tout deux un peu foufou, on peut donc s’imaginer aisément qu’ils peuvent bien s’entendre…. Et bien, vous me croirez ou non, tandis que Lisbon était partie se promener avec la jeune femme afin de faire connaissance, Patrick Jane et le docteur, eux, étaient en train de se marrer comme deux cons… Puis, Jane, vous savez comment il est, curieux comme tout, voulu aller voir le transporteur interstellaire d’un peu plus près, convaincu qu’il s’agissait d’une vraie cabine téléphonique. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il se rendit compte que la machine était plus grande à l’intérieur. Le docteur, lui, content de s’être fait un nouvel ami, lui fit une jolie surprise : un rapide voyage dans le passé, afin de lui prouver qu’il s’agissait vraiment d’une machine spatio-temporelle. Ils revinrent une demi-heure plus tard, Jane retrouva sa Lisbon, et le docteur sa compagne… Ils se promirent de se revoir bientôt puis la machine disparut… Voila une belle rencontre ne trouvez-vous pas ?

Ah, la période Juillet-Aout, propice aux vacances, au farniente, au soleil... Clevy et sa femme y sont justement. A vrai dire, c'était Mrs Clever qui avait une folle envie de partir au loin pour se reposer... Et devinez la destination que Clevy a choisi? L’Égypte évidemment. Ah, on peut dire que ça leur convient parfaitement.... Pour deux raisons différentes, il faut bien l'avouer! Pour Mrs Clever, c'est plutôt la découverte des tombes, des temples et tout ce qui attrait à l’Égypte ancienne... et bien entendu, il y a la plage, le sable fin et la mer bleue et limpide...

En ce qui concerne Clevy, il en est tout autrement. Vous le connaissez, non? Vous savez donc que les vacances sont synonyme de liberté d'expres​sion(selon ses propres dires), de récréation, d'amusement.... Ok... Je vois à vos yeux incrédules que vous ne pigez rien du tout... Il s'agit tout simplement de tuer, de massacrer, bref rien que du sadisme. Et cela tombe bien! Il y a justement la guerre là-bas... Ben quoi? Vous lisez jamais les journaux? Mr Clever l'a fait lui... Et je peux vous dire que le fait de voir toute cette violence en Égypte, ben ça lui a donné de ces idées.

En bref, Madame fait la crêpe au soleil pendant que son petit mari de sadique joue à la guéguerre... Je vous jure, il y a de ces humains bizarres.

Fin

Pour une fois, nous allons parler d'un personnage hors du commun, ennemi juré du Docteur et comme lui, seigneur du temps... Oui, il s'agit bien du Maître... Hum, en y réfléchissant bien, je crois que finalement le Master et le Docteur sont devenus subitement amis... Ne me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien. Il faut dire que depuis plusieurs jours, ces deux-là sont un peu (et même beaucoup) bizarre. Vous voulez en savoir plus ? Parfait ! Vous serez les premiers à savoir pourquoi nos deux beaux gosses ont un comportement plus qu'anormal... Et je dois vous dire que c'est même plus cocasse. Jamais vous n'aurez vu ce genre de scène, ni dans Doctor Who (oui je parle bien de la série), ni où que ce soit... ¨Pour vous dire la vérité, on se serait même cru dans une comédie satirique.

Je me promenais un jour, comme ça, dans Hyde Park. Le ciel était bleu, il faisait chaud... Bref, une magnifique journée d'été. Jusque là, c'est normal. Lorsque soudain, je repère une scène ma foi assez surprenante: un homme, blond de surcroit, était en train de courir dans la pelouse. Un assez bel homme je dois avouer. En y regardant de plus près, je me rends compte que, premièrement, il portait à ses poignets des menottes... Secondement, il était torse nu et portait à ses pieds des chaussettes jaune à pois rouge. Troisièmement, et c'est là que ça devient totalement absurde, il tenait, coincée entre les dents... une carotte... Ouais, comme les lapins en fait. Je le regardais donc faire son numéro de lapin... Pardon... de cirque, quand soudain, je reconnus cet homme. C'était le Maître! En voilà un choc! Voilà notre beau blond se prenant pour un lapin à présent. De deux choses: soit il s'est pris une porte en pleine poire, soit le soleil a trop tapé sur la tête. Je me rendis compte, un peu plus tard, qu'il n'était pas seul. Le Docteur (Eleven, Ten... choisissez lequel vous préférez) était là, goguenard, assis par terre. Je compris alors bien vite que c'était lui la cause de cette loufoquerie. J'ignorais cela du Seigneur du temps. Mais après tout, il avait bien le droit de rigoler, ne trouvez-vous pas? Et personnellement, je suis bien contente de les voir, tous deux, amis comme cochon.

Un jour comme tant d'autres, le Docteur était à bord de son cher Tardis et pour une fois, il faisait son ménage. Il était plus que temps, la poussière commençait à s'accumuler. Après avoir épousseter avec amour la console de commande, il s'attaqua à ce qu'il appelait le débarras. Il vida donc cette pièce de tout le fourbi qui s'amoncelait depuis des décennies, lorsque son attention fut attiré par un étrange objet... Il s'agissait en fait d'une cornemuse, certainement offerte il y a des années par sa marraine, un être à deux têtes qu'il n'aimait pas (en tout cas, c'est ce qu'il s’évertuait à  raconter à qui voulait bien l'entendre.

Il laissa donc tomber son astiquage et fit ses recherches sur l'ordinateur. Il apprit ainsi que l'objet en question était un instrument à vent et à anche. "Super" se disait-il. Il essaya donc ce nouveau joujou, tout content de sa nouvelle trouvaille. Malheureusement, les premiers essais étaient... catastrophique. On aurait dit un cochon qu'on étripait. Et cela n'avait pas l'air de le déranger le moins du monde. Que du contraire! Il continua de plus belle son concerto pour cochon étripé... Jusqu'à ce qu'une idée lui vint en tête. Il allait jouer du rock... Du rock en cornemuse??? Et bien oui! Vous avez bien lu. Il chercha donc sur l'ordinateur une chanson "rock" terrienne et en trouva une qui lui plut: "We will rock you" du groupe Queen (Petit clin d’œil au trio qui avait déjà chanté une de leur chanson: "Bohémian Rapsody". Je peux dores et déjà vous dire que la chanson fut un désastre. Mais avec de l'entrainement, il réussit à ce que cela ressemble à la chanson. Le Docteur joua de la cornemuse toute la journée, toute la nuit et poursuivit même le lendemain, sans interruption aucune.

Hé bien, heureusement qu'il était seul, je n'aurais pas voulu être à la place de ses compagnes si elles avaient été là.... Pour sûr, elles lui auraient bien jeté à la tête tout ce qui leur passait par la main. (Notez que j'aurais bien voulu voir cette scène).

FIN

Lors d'un de ses nombreux voyages, il est déjà arrivé au Docteur de se tromper totalement sur la destination finale... Sur le lieu même bien sûr, mais aussi, et ça va être le cas aujourd'hui, sur la date précise où il doit atterrir. Hé oui, notre bon vieux Docteur se goure aussi, il n'est pas toujours très précis dans ses recherches.

Je pense qu'une petite explication ne sera pas de refus, à voir votre tête d'ahuri.

Pour faire plaisir à sa nouvelle compagne du jour, j'ai nommé Coralie, le Seigneur du temps avait eu dans l'idée de l'emmener au temps des Romains.... Pourquoi les Romains? Je n'en sais rien du tout, je suis pas dans sa tête. Bref. Donc, le voilà qui trifouille dans sa base de donnée, mais tellement foufou qu'il était, il s'était totalement gouré dans la date. Le Tardis fut donc envoyé, non pas chez les Romains... Mais bien au temps des dinosaures!

Une demi heure plus tard, la cabine spatio-temporelle se matérialisa donc dans une forêt dense... Une jungle quoi!. A peine cela fait, le Docteur et Coralie sentirent comme un tremblement de terre (en fait de tremblement, c'était un T-Rex qui venait dans leur direction.) Cela, le Docteur le découvrit bien assez vite, quand, ouvrant la porte, il tomba nez à nez.... avec la gueule grande ouverte du Dino qui visiblement, n'était pas content. Qu'à cela ne tienne, ce n'était pas cela qui allait faire peur à notre valeureux Docteur. Armé d'un bâton, il sortit de son cher Tardis, et se mit à lui parler.

"Qu'est-ce qu'il y a, mon cher T-Rex? Tu n'es pas content? Désolé, il me semble que me sois trompé d'endroit. Cela étant, je pense que ceci devrait te faire plaisir." Il lui montra le bâton "Oui, je sais il est tout petit, mais c'est tout ce que j'avais sous la main. Tu le veux? Mais oui, je sais que tu le veux... Alors.." Il prit son élan et reprit à pleine voix "VA CHERCHER"

Il lança alors son grand bâton avec force à l'autre bout de la jungle. Le Dino, comme un petit chien-chien à sa mémère, se lança à sa poursuite, ce qui donna du temps au Gallifréen de rentrer dans la cabine et de partir vers un autre lieu bien moins dangereux... Comme les Romains par exemple...

Bon, moi, ce que je me demande toujours, c'est Pourquoi les Romains? Pourquoi pas... Autre chose?

FIN